Seuls 4 % des salariés français déclarent faire le « strict minimum », ce qui laisse entendre que lorsqu'il s'agit de leur bonheur, ils n'hésitent pas à opter pour la « démission silencieuse ». Le problème réside plutôt dans le manque de travail utile, créatif et épanouissant. Le souhait de faire un travail plus gratifiant et plus stimulant est bien présent : 65 % des personnes interrogées déclarent qu'elles trouveraient leur travail plus agréable si elles avaient le temps de se consacrer à des tâches créatives.
L'étude menée par Opinium, pour le compte de Ricoh Europe, recueille les impressions de 1 000 salariés et de 250 responsables en France. Elle révèle que si 60 % d'entre eux se disent enthousiastes dans leur travail, il subsiste des tensions et des obstacles à leur épanouissement.
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